Ghislaine PAOLI

PARTI ANIMALISTE / CINQUIÈME CIRCONSCRIPTION

Cinq ans pour écrire une loi

Aujourd’hui, l’élevage est responsable de 15% des émissions de CO2, ainsi que 80% de la déforestation dans le monde. En plus de cela, la production de viande nécessite une quantité phénomène de ressources comme l’eau, les céréales, les terres agricoles (pour les animaux et leur nourriture). Pour ces raisons, et bien d’autres, mon premier « cheval de bataille », si je suis élue députée, serait de mettre fin à l’élevage intensif, et, en contrepartie, promouvoir les protéines végétales.

Plus, mieux ou moins ?

Il faudrait produire plus de cultures céréalières, supprimer les élevages intensifs, diminuer les importations, surtout lorsque celles-ci sont substituables. Notre souveraineté alimentaire retrouvée, il faudrait consommer plus local, et surtout de saison.

Plus de logements ! Oui mais comment ?

Le parti animaliste étant monothématique et transpartisan, il ne se positionne pas sur ce sujet.

Et maintenant on mange quoi ?

Pour cela la solution est simple : supprimer les élevages intensifs, mettre en place des dispositifs de reconversion pour les agriculteurs vers la production végétale. Promouvoir la cuisine et la consommation d’aliments d’origine végétales. Au final, on mange de tout, mais de saison, local, et on en encourageant une diminution de notre consommation de viande. Cela permettra de répondre à la fois aux enjeux écologiques, tout en servant les intérêts économiques et de santé de chacun.